La série suit la vie de lycéens d’une sorte de Pays de Galles nommé Moordale du point de vue d’Otis, jeune garçon timide, bourré de craintes sur sa sexualité qui vit avec sa mère sexothérapeute, ce qui n’arrange rien.
Un peu par hasard, il se retrouve à aider un camarade de classe à gérer ses relations sentimentales et sexuelles. Maeve, une camarade populaire et rebelle, entend leur discussion. Ayant besoin d’argent, elle pousse Otis à organiser dans le lycée un cabinet souterrain de sexothérapie, en s’appuyant sur ce qu’il connaît de la clientèle et des pratiques de sa mère.
Les « consultations » s’enchaînent au fil des épisodes. Couacs, méprises, amour et consentement : tout ce que peut générer la pression sociale autour de la sexualité, particulièrement exacerbée à l’adolescence, y passe. Les parcours variés et drôles des personnages vivant leurs vies malgré l’homophobie, le sexisme ou la pauvreté mettent aussi en scène des violences sociales dont on peut se défendre