Toute guerre a ses profiteurs
11 mai 2020 Brèves d’entreprise Entreprises
Beaucoup de cheminots en télétravail ont été placés d’office au chômage partiel, donc payés par l’État, un jour ou deux par semaine, alors que leur charge de travail reste la même et remplit largement un temps plein. D’autres, en formation, qui suivent des cours à distance et s’exercent en ligne sont réputés travailler seulement deux jours par semaine...
Voilà les magouilles qui occupent nos dirigeants. Et quand on voit les journées de service surchargées du plan de transport « déconfinement » pour les conducteurs et les agents départs, on se dit que la direction a pris goût à nous mettre le plus possible en chômage partiel pour toucher l’argent public.
Mots-clés : SNCF