Bons baisers de Russie
7 décembre 2015 Brève
Fabius s’aligne sur Poutine : le départ de Bachar Al-Assad n’est plus un préalable à toute négociation sur l’avenir de la Syrie. Une preuve de plus que les bombardements en cours n’expriment que les calculs cyniques des grandes puissances. De leur point de vue, le peuple syrien tombera aux mains de celui qu’ils adouberont, fût-il un dictateur sanguinaire.