En fin de manifestation du 1er mai à Paris, un groupe d’individus non identifié a violemment attaqué le service d’ordre et des militants de la CGT, blessant 21 militants, dont 4 grièvement. Ces méthodes exécrables n’ont rien de commun avec le mouvement ouvrier. Elles en font même clairement des ennemis, dont il faudra se défendre énergiquement s’ils récidivent.
Sans surprise, la police a laissé faire après avoir joué son rôle d’intimidation et de provocation pendant toute la manifestation. Les déclarations des ministres Marlène Schiappa ou Élisabeth Borne, regrettant l’agression, ne masquent pas le fait que le gouvernement mène lui aussi une politique anti-ouvrière et accompagne la répression contre des syndicalistes depuis des années.
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