Au Mozambique, Total a été contraint de déplacer une centaine de techniciens et d’ingénieurs vers la capitale du pays, Maputo, après l’éclatement d’une fusillade menée par des djihadistes sur un site gazier. Quant aux 2 900 autres travailleurs du site, relevant de sous-traitants de Total, la firme française les invite à « rester chez eux ». Les massacres des groupes armés de la province de Cabo n’avaient de toute façon pas dissuadé le géant français de lancer son projet à 16,5 milliards d’euros en septembre dernier. Covid, guérilla… tant qu’il y aura des gisements !
Mots-clés : Total