Les inondations qui ont touché une partie de l’Allemagne et de la Belgique les 14 et 15 juillet ont fait au moins 153 morts et plusieurs dizaines de personnes sont toujours portées disparues. Les spécialistes attribuent ces catastrophes au réchauffement climatique qui, selon les régions du monde, se traduit par des crues impressionnantes, des incendies monstres comme en Californie ou en Australie, voire des glissements de terrain comme au Japon.
Mais, dans le cas de certaines agglomérations de Belgique ou d’Allemagne, les dégâts causés par ces crues spectaculaires ont été amplifiés par une urbanisation forcenée et le bétonnage des sols qui font que l’on construit aujourd’hui sur des zones humides réputées hier inondables, voire sur d’anciens lits de rivières.
Et la nature finit par se venger…