Contre les licenciements et les suppressions d’emplois : les travailleurs « condamnés à se coordonner » !
Convergences Politique 1er mars 2021
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Convergences Politique 1er mars 2021
Éditorial
Convergences Politique 18 janvier 2021
Convergences Politique 18 janvier 2021
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 18 janvier 2021
Michelin, Renault, Bridgestone, Total, Sanofi, TUI… Pas une journée ne se passe sans une annonce de suppressions d’emplois. La faute au corona, à la transition énergétique, à la concurrence étrangère ? Des prétextes qui masquent la rapacité patronale. Il n’y a aucune fatalité : la mobilisation collective du monde du travail peut remettre en cause leur frénésie de suppressions d’emplois.
Convergences Monde 15 janvier 2021
Convergences Entreprises 30 novembre 2020
Cinq petites minutes… C’est le temps qu’a pris la direction de Bridgestone à la mi-novembre pour évacuer le « plan B » proposé par le gouvernement, la région Hauts-de-France et l’intersyndicale de l’usine, qui consistait à maintenir l’usine avec un peu plus de la moitié des emplois. Pourtant, Xavier Bertrand et le gouvernement étaient prêts, de nouveau, à sortir le chéquier pour arroser les actionnaires de nouvelles subventions publiques. Cette « solution », qui consistait à sacrifier la moitié des salariés pour sauver l’autre, n’a de toute façon pas recueilli l’assentiment des actionnaires qui, d’après des documents dévoilés dans la presse, ont calculé leur marge à l’euro près avec la fermeture définitive du site.
Convergences Politique 28 octobre 2020
Alors qu’une avalanche de suppressions d’emplois est en cours, sous forme de plans sociaux annoncés par de très grands groupes, départs en retraite non remplacés, départs volontaires, fin de contrats intérimaires et précaires, il y a comme un grand trou dans la raquette : la réaction, ou l’absence de réactions des directions syndicales. Au mieux chaque syndicat réagit au pied du mur, entreprise par entreprise, bien ou mal, avec parfois plutôt plus d’affluence que moins à des rendez-vous donnés. Parfois beaucoup de monde même, comme cet été à Renault Maubeuge. L’émotion et la colère sont là. Mais les solutions mises en avant par des structures syndicales locales prises de court et auxquelles les instances syndicales nationales n’offrent aucune perspective ni plan de mobilisation générale, sont des « plans industriels » pour tel secteur, des demandes illusoires de « relocalisations » pour contrer la concurrence étrangère, ou encore des suppliques pour obtenir des « contreparties » aux centaines de milliards accordés au patronat – qui valent acceptation de ces plans. Rien qui arme les travailleurs pour lutter contre les licenciements et le chômage.
Article Entreprises 7 octobre 2020
Le rassemblement de mardi 6 octobre, au bas de la tour Total à la Défense, a été appelé à l’initiative de la CGT Grandpuits (Seine-et-Marne) et voté par plus de 200 salariés du site, réunis en assemblée générale le 25 septembre. Le rassemblement a été animé par une quarantaine de salariés de Grandpuits tambourinant sur des barils de pétrole, bien décidés à se faire entendre. Ils ont réuni quelque 200 personnes : des militants politiques et des jeunes venus en soutien mais aussi de nombreuses délégations syndicales de la pétrochimie de toute la France, de Total et de ses filiales comme Hutchinson notamment, menacée d’un PSE de 1 000 emplois (en France), sans compter les 6 000 intérimaires.
Article Entreprises 5 octobre 2020
Éditorial
Convergences Politique 4 octobre 2020
Convergences Politique 4 octobre 2020
Convergences Monde 4 octobre 2020
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 28 septembre 2020
Mercredi 16 septembre, à 9 h 30, la direction du groupe Bridgestone annonçait la fermeture de l’usine de Béthune, laissant 863 ouvriers sur le carreau, sans compter les emplois indirects. Les travailleurs l’apprenaient une demi-heure avant, coup de massue ! Depuis, la fermeture de Bridgestone fait la Une et résonne comme l’exemple emblématique de cette situation sociale où le patronat multiplie les plans de licenciements et les fermetures de sites.
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 21 septembre 2020
Alors que le gouvernement promettait 100 milliards d’euros supplémentaires au patronat avec un « plan de relance » censé redresser l’économie, les suppressions de postes se multiplient. La direction de Bridgestone a annoncé la fermeture de l’usine de Béthune, laissant près de 900 salariés sur le carreau. Un patron de plus qui condamne des centaines de familles à la galère et au chômage. Dans la droite ligne de la politique de Macron et Castex.
Article Entreprises 11 septembre 2020
Dans Convergences révolutionnaires no 131, nous relations la grève à Nissan, entamée le 4 mai contre la fermeture de trois sites employant environ 2 500 travailleurs à Barcelone et son agglomération. À ce jour, la lutte de ces travailleurs continue. La semaine dernière, ce sont environ 300 salariés de Barcelone qui se sont rendus à l’usine Nissan de Los Corrales de Buelna (Cantabrie), à plus de 700 kilomètres. L’usine de Los Corrales de Buelna fabrique des pièces pour Renault et Nissan et emploie 500
> Convergences révolutionnaires > Numéro 126, mai 2019
Leur monde merveilleux : licencier pour faire travailler plus
> Convergences révolutionnaires > Numéro 107, septembre-octobre 2016
Alstom, SFR, Latécoère, Arkema... tous ensemble contre les licencieurs
> Convergences révolutionnaires > Numéro 69, mai-juin 2010
DOSSIER : Tous ensemble contre les mille et un visages du chômage et des licenciements
> Convergences révolutionnaires > Numéro 65, septembre-octobre 2009
> Convergences révolutionnaires > Numéro 36, novembre-décembre 2004
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