Plutôt vaguelette que tsunami, surtout quand on voit les chiffres de l’abstention et leur
Articles
-
-
- À Lyon, comme dans d’autres villes, les écologistes, avec Grégory Doucet, ont emporté la mairie, à la tête de listes « union de la gauche ». Ils ont également gagné la majorité à la métropole, maintenant dirigée par Bruno Bernard. Comme ceux de Bordeaux, de Strasbourg ou de Besançon, ils sont l’écume de cette « vague verte » qui aiguise bien des appétits pour les prochaines échéances, notamment les présidentielles de 2022.
Plutôt vaguelette que tsunami, surtout quand on voit les chiffres de l’abstention et leur
-
-
-
Éditorial des bulletins d’entreprise L’Étincelle, du lundi 3 juin 2019
Contre Macron et son « acte II », un nouvel acte des luttes
Convergences Politique 15 juin 2019
À peine les bureaux de vote bouclés, le gouvernement et les patrons reviennent aux choses sérieuses. Ces derniers qui, pour ne pas embarrasser le gouvernement, avaient repoussé de quelques semaines ou quelques mois les mauvaises nouvelles pour l’emploi, n’ont pas attendu 48 heures pour multiplier les annonces de fermetures de sites ou de suppressions massives de postes. Hugh Bailey – ancien conseiller de Macron à Bercy au moment de la cession d’Alstom à General Electric et devenu directeur de...
-
-
Éditorial des bulletins d’entreprise L’Étincelle, du lundi 27 mai 2019
La farce électorale est passée... Retour aux choses sérieuses !
Convergences Politique 15 juin 2019
Marine Le Pen est contente : son parti est en tête des élections européennes en France. Sauf que le Rassemblement national ne fait pas le carton qu’il espérait ; il a même moins qu’en 2014. Et beaucoup n’ont voté pour lui que par rogne contre Macron.
Macron est content : il n’a pas pris la veste qu’il pouvait craindre, siphonnant un peu plus les voix de son alter-ego de la droite classique tout en perdant au profit des Verts une bonne partie de son électorat, celui qui avait voté pour lui au second tour -
La farce électorale est passée... Retour aux choses sérieuses !
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 27 mai 2019
Marine Le Pen est contente : son parti est en tête des élections européennes en France. Sauf que le Rassemblement national ne fait pas le carton qu’il espérait ; il a même moins qu’en 2014. Et beaucoup n’ont voté pour lui que par rogne contre Macron.
Macron est content : il n’a pas pris la veste qu’il pouvait craindre, siphonnant un peu plus les voix de son alter-ego de la droite classique tout en perdant au profit des Verts une bonne partie de son électorat, celui qui avait voté pour lui au second
-
-
-
Pour l’Europe des travailleurs, votez Lutte ouvrière !
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 20 mai 2019
À la veille des élections européennes, on nous serine qu’il n’y aurait que deux choix : sanctionner Macron en votant pour n’importe qui susceptible de faire passer le parti présidentiel en seconde position, suivez mon regard ; ou voter en se pinçant le nez pour la liste de Macron, par peur de Marine Le Pen. Choisir la peste contre le choléra ou l’inverse… comme à chaque élection ! Sanctionner la politique de Macron, ça fait six mois qu’on le fait sur les ronds-points, aux barrières de péage et tous les -
Élections européennes
Exprimer la colère populaire, en votant pour la liste de Lutte ouvrière
Convergences Politique 14 mai 2019
Macron est parti très en avance en campagne pour la prochaine élection des députés européens, sans susciter l’engouement pour l’instant. Mais ses ambitions sont plus limitées. Il lui suffit de mobiliser sa base sociale : le patronat, les start-upeurs, cadres supérieurs des grandes villes et la foule des petits notables de province qui ont fait l’essentiel du public de son Grand bla-bla et de capter l’électorat de droite.
Bien sûr, Macron restera en place même si la liste gouvernementale aux européennes
-
-
-
Européennes : votez et faites voter pour la liste Lutte Ouvrière
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 15 avril 2019
Tout le monde, et Macron en tête, est parti dans la campagne pour les prochaines élections européennes. Comme n’importe quelle autre élection, celles-ci ne changeront pas la vie. Mais autant saisir cette occasion de plus, pour chacun et chacune d’entre nous, d’exprimer sa colère.
Une occasion d’exprimer notre rejet de la politique de Macron en faveur des patrons, que nous exprimons depuis des mois dans la rue, sur les ronds-points, avec les Gilets Jaunes. Notre colère contre cette Europe des -
Petite vague bleue contre Trump
Convergences Monde 8 décembre 2018
L’objectif des démocrates était de faire de ce scrutin un référendum anti-Trump. Pas surprenant vu le personnage et l’indignation que suscitent ses tweets. Les démocrates se sont en fait contentés de dérouler une vague liste de revendications en promettant de rétablir les « contre-pouvoirs » contre la présidence.
En face, les Républicains ont choisi de mettre Trump en avant (avec une série de meetings dans les États-clés, sur une campagne contre la caravane des migrants provenant d’Amérique centrale). Un
-
-
-
Editorial
Européennes 2019 : Pour une campagne politique commune des révolutionnaires, au nom des prolétaires de tous les pays
Convergences Politique 9 octobre 2018
Le NPA comme LO, dans leurs hebdomadaires respectifs datés des 27 et 28 septembre, consacrent un article à l’état de leurs rencontres-discussions menées depuis l’été, à l’initiative du NPA rappelle LO, pour envisager une campagne commune aux prochaines élections européennes. La direction du NPA titre « C’est difficile ». Oui, certainement, pour un ensemble de divergences politiques et considérations pratiques. Les deux questions politiques que NPA et LO s’accordent à mettre en avant, celles que la
-
-
-
-
-
Un banquier est en place, organisons la riposte !
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 15 mai 2017
Ça y est : Emmanuel Macron est installé à l’Élysée. Et à Matignon, Édouard Philippe, le député-maire Les Républicains du Havre, est nommé premier ministre.
Avec cet ex-membre du cabinet d’Alain Juppé, accompagné de politiciens de gauche et de droite connus depuis longtemps comme François Bayrou, Gérard Collomb (le maire PS de Lyon) ou Jean-Paul Delevoye, ancien ministre de Chirac, le renouveau gouvernemental a sacrement le goût du vieux.
-
Un banquier est en place, organisons la riposte !
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 8 mai 2017
Emmanuel Macron (66,10 %) a remporté le second tour de l’élection présidentielle contre Marine Le Pen (33,90 %). Mais nombreux sont ceux qui ont refusé de prendre position face à ce non-choix et ont souhaité montrer leur rejet de ces candidats. Reste en tout cas à préparer les luttes à venir du troisième tour social.
Si Emmanuel Macron croit pouvoir s’enorgueillir d’une victoire confortable en pourcentages, le vote a surtout été marqué par 12 millions d’abstentions (un record de 25,44 % des inscrits), plus 4 millions de bulletins blancs ou nuls (11,5 % des votants, un record aussi). Ces chiffres sont notamment importants dans les quartiers populaires, preuve du rejet massif de la millionnaire xénophobe comme de celui qui incarne le « monde des affaires ».
-
-
-
Quel que soit le président, aux travailleurs de préparer la riposte
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 1er mai 2017
Les deux candidats du 2e tour se sont donnés en spectacle à Whirlpool-Amiens la semaine dernière. Un symbole de toute la campagne. L’entreprise américaine menace de fermer le site d’Amiens pour aller faire produire en Pologne. Mais la « délocalisation » cache mal les plans sociaux qui s’y sont déjà accumulés entre 2002 et 2017, et qui ont fait tomber les effectifs de 1 300 à 290 personnes. Comme l’écrasante majorité des entreprises qui licencient, Whirlpool est un géant aux bénéfices nets en augmentation -
Pousser un coup de gueule, mais aussi préparer les luttes de demain
Votons Philippe Poutou
Éditorial des bulletins L’Étincelle Politique 17 avril 2017
Les classes populaires ont bien des raisons d’être en colère contre les Fillon, les Macron, les Le Pen qui s’apprêtent à distribuer davantage encore de milliards au patronat. Afin de créer des emplois, disent-ils. Mais cela fait près de 35 ans qu’on nous ressert le même argument : présidents et ministres, de gauche comme de droite, ont tous continué à mettre les entreprises et leurs actionnaires sous perfusion d’argent public... Ça a créé un seul emploi ? Bien sûr que non ! Mais le chômage a explosé.
Il y a mieux à faire dans ces élections que de voter pour un de ces politiciens « qui a des chances » d’être élu. « Poutou ? Il dit ce qu’on pense tous ! Il parle comme nous ! » : voilà ce qu’on entend dans cette campagne dans la bouche des travailleurs sur les marchés, dans les ateliers ou les bureaux. Mais, le plus souvent, pour ajouter : « Mais à quoi ça sert de voter pour lui ? Il n’a aucune chance de passer ! »
Peut-être. Mais nous savons tous, par expérience, que quel que soit celui qui sera élu, la politique sera la même, celle que déciderons les patrons dont tous ces politiciens ne sont que les larbins, cette politique au service des riches que nous subissons depuis tant d’années
Les élections sont une des rares occasions où l’on nous demande notre avis. L’occasion de pousser un coup de gueule contre leur société, contre le système capitaliste, qui écrase le plus grand nombre pour que les riches s’enrichissent davantage.
-
Rubriques
> Convergences révolutionnaires > Numéro 112, mars-avril 2017
> Convergences révolutionnaires > Numéro 94, juin-juillet-août 2014
DOSSIER : Élections européennes, pas de surprise pour ceux qui ont fait le lit du FN
> Convergences révolutionnaires > Numéro 63, mai-juin 2009
DOSSIER : Obama président, l’oncle Sam change de look... mais pas de cibles