La répression s’abat sur les opposants de Poutine et notamment sur ceux qui revendiquent la libération de Navalny, emprisonné dès son retour de l’étranger où il avait été victime d’une tentative d’empoisonnement. La crise sanitaire sert désormais de prétexte à la répression. Par exemple une opposante de la région de Mourmansk, Violetta Groudina, a été hospitalisée de force dans un service Covid, alors qu’elle n’avait même pas été testée positive. Elle avait été arrêtée pour « non respect des mesures de quarantaine ».
Ces mesures de quarantaine sont à géométrie variable. De vastes rassemblements religieux ont été autorisés par le pouvoir. Deux poids deux mesures : il est clair que les popes ne sont pas considérés comme des opposants…
Mots-clés : Russie