Finalement, Theresa May, Première ministre britannique, ne soumettra peut-être pas le projet d’accord sur le Brexit à un troisième vote au Parlement. Les tractations qui permettraient d’arracher une majorité après deux rejets ne semblent pas déboucher.
Alors que l’échéance du 29 mars approche, c’est toujours la foire d’empoigne entre partisans du Brexit dur, mou ou de son annulation pure et simple. Samedi, à Londres, plus d’un million de manifestants ont défilé pour demander un nouveau référendum. Difficile de savoir ce qui sortira de cette situation. En tout cas rien de bénéfique pour les travailleurs. Parlementaires et gouvernement britanniques d’un côté, autres gouvernements européens de l’autre n’ayant d’inquiétudes que pour les intérêts du patronat.
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