C’est la deuxième fois depuis le début du mois que le Liban est complètement plongé dans le noir, sans électricité. En cause, l’arrêt de deux centrales électriques importantes qui ne peuvent plus fonctionner faute de carburant. La fermeture des facs, des magasins, des cafés, l’activité très ralentie des hôpitaux, les files d’attente interminables devant les stations service risquent de durer encore longtemps, rendant la vie des Libanais, abandonnés à leur sort, littéralement impossible.
Macron, qui s’est présenté plusieurs fois au Liban en sauveur, ou plutôt au secours d’un régime conspué par la rue, tout en exigeant de lui le renforcement des mesures d’austérité, semble aujourd’hui aux abonnés absents… Mais les Libanais en colère sont toujours là.
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