Semaine de 28 heures (contre 35h aujourd’hui) avec compensation partielle de la perte de salaire, 6 % d’augmentation : ces deux revendications ont déjà mis plus de 500 000 travailleurs de l’industrie allemande en grève.
Certes, le mouvement se tient pour l’instant dans les limites imposées par son organisateur, l’IG Metall. Un syndicat prompt à signer n’importe quel accord dès lors qu’il estime que cela le renforce. En attendant, les travailleurs allemands tiennent tête à leurs patrons, et cela ne peut que nous aider, ici en France, à faire de même.
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