La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, vient de se faire épingler par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Cette dernière s’est étonnée qu’avant d’être nommée à son poste ministériel, en mai dernier, la dame avait touché 520 000 euros nets en quatorze mois en tant que directrice générale de la Fédération française de tennis, soit 37 000 euros par mois, alors que son prédécesseur « plafonnait » à 14 000 euros. Auparavant, elle était salariée de Carrefour où elle touchait plus de 580 000 euros par an. Encore un bel exemple de consanguinité entre milieux d’affaires, milieux sportifs et milieux gouvernementaux.
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