Depuis la tentative de suicide d’Anas, qui s’est immolé par le feu pour dénoncer la précarité étudiante, des milliers de ses camarades touchés par ce drame se mobilisent dans les facs. Ils dénoncent les politiques qui ont favorisé cette précarité et exigent des moyens pour y faire face.
À ce jour, la seule réponse de la ministre de l’Enseignement supérieur est la mise en place d’une… hotline ! De quoi révolter encore davantage cette jeunesse, qui a d’ores et déjà appelé à rejoindre les cortèges du 5 décembre.
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