Depuis un mois, les manifestations, en particulier des jeunes, demandent la fin du régime corrompu. Le Premier ministre, Saad Hariri, a déjà jeté l’éponge. Mais le vieux général Aoun, le président, s’accroche et a déclaré que « s’ils ne sont pas contents des gens au pouvoir, ils peuvent émigrer ». Et il s’est plaint de ne jamais avoir vu des manifestants comme ça. « Cela s’appelle une révolution ! » lui a répondu un journaliste...
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