Notre camarade, ouvrier de l’automobile, candidat à l’élection présidentielle, continue de porter les revendications essentielles du monde du travail dans cette campagne. Lors de deux meetings tenus cette semaine à Toulouse, le 23 novembre, plusieurs centaines de personnes ont pu l’entendre appeler notamment à « l’expropriation des capitalistes ». Ce week-end à Paris, Philippe était évidemment présent pour la manifestation contre les licenciements. Licencié par Ford après une longue lutte, il était particulièrement bien placé pour conseiller aux travailleurs menacés de « retrouver du culot dans les revendications, pour ne plus être sur la défensive ».
Mots-clés : Philippe Poutou