Lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Manuel Valls a fait assaut de brutalité verbale pour expliquer que les réfugiés fuyant la guerre et la misère ne devaient pas être accueillis en France, voire en Europe, mais expulsés.
À Calais au même moment, il était pris au mot par quelques fachos d’extrême-droite. Sept d’entre eux ont été surpris par la police en train de tabasser des réfugiés kurdes.
Ces violences sont dénoncées depuis des mois par les associations qui viennent en aide aux migrants. Généralement dans l’indifférence de la justice et de la police, cette dernière, en étant souvent à l’origine en digne exécutant de la politique gouvernementale.
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