Antonio Guterres, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, a déclaré à propos de la COP26 : « Les promesses sonnent creux quand l’industrie des énergies fossiles continue de recevoir des milliers de milliards de subventions […] ou quand des pays continuent à construire des centrales à charbon » en ajoutant que « les besoins financiers des pays du Sud pour s’adapter aux impacts du réchauffement sont une injustice flagrante. » On ne lui fait pas dire. Et il s’y connait, lui qui dirige une association internationale qui prend régulièrement des résolutions sur lesquelles s’assoient les grandes puissances. Bref un orfèvre en matière de bla-bla et d’engagements bidon.
Mots-clés : Réchauffement climatique