Le patronat et ses relais politico-médiatiques font pression sur Macron pour qu’il remette sur le tapis sa réforme des retraites avant la fin de son mandat. Nul ne sait qui lui succèdera et ce qu’il pourra se passer dans un an. Le Medef considère donc qu’un bon tien vaut mieux que deux tu l’auras. Le patronat n’a pas l’assurance que la situation lui soit favorable d’ici là.
Le projet de repousser la retraite à 64 ans revient donc sur le tapis. On mesure l’absurdité et l’injustice de cette mesure quand on sait que un salarié de plus de soixante ans sur deux est sans emploi aujourd’hui. Le résultat principal serait donc de diminuer le montant de nos pensions.
Mots-clés : Retraites