Le vent de révolte qui souffle depuis deux semaines sur la Guadeloupe, suivie de la Martinique, ne s’apaise pas. Manifestations, barrages de route dont certains sont défaits par la police de nuit pour être reconstruits le lendemain, c’est la colère sociale des plus pauvres, salariés et chômeurs des villes et des campagnes, qui explose dans la mobilisation actuelle.
Éditorial
Guadeloupe-Martinique : si violence il y a, c’est bien celle de l’État colonial français
Convergences Monde 5 décembre 2021