Julian Assange, fondateur de Wikileaks, a été arrêté. Il s’était réfugié dans l’ambassade d’Équateur à Londres depuis 2012 pour échapper à des poursuites judiciaires.
N’osant pas l’attaquer pour avoir divulgué, entre autres, des documents embarrassants sur l’armée américaine et sa sale guerre en Irak, Trump – qui avait pourtant largement utilisé les informations de Wikileaks contre Hilary Clinton – veut le faire poursuivre pour « piratage informatique ».
Derrière tous les grands discours sur la liberté d’expression, les États n’hésitent pas à arrêter ceux qui ont l’audace de vouloir simplement faire connaître leurs agissements.