Vinci : capitalisme et esclavage
26 novembre 2018 Brève Entreprises
Cette semaine, une nouvelle plainte a été portée contre Vinci pour dénoncer le « travail forcé » et la « traite des êtres humains » sur les chantiers de la coupe du monde au Qatar. De quoi ternir l’image de Vinci, qui ne retient plus, du moins officiellement, les passeports de ses employés. Mais rien n’a changé pour 60% des travailleurs du chantier, embauchés par des entreprises sous-traitantes qui continuent de confisquer les passeports.
Il n’empêche que c’est bien Vinci qui continue d’empocher les profits (+ 26 % de bénéfice net par rapport à l’an dernier), faits sur le dos de ces travailleurs.