Olivier Véran, le ministre de la Santé, n’a pas digéré une interview donnée à RTL par Valérie Pécresse, la candidate LR à la présidentielle, dans laquelle cette dernière reproche aux différents gouvernements de ces dernières années le plafonnement du nombre d’étudiants en médecine qui aurait conduit, selon elle, à la pénurie actuelle de médecins. Et Véran de rappeler qu’entre 2007 et 2011, une époque où le numerus clausus pratiqué dans les facultés de médecine était plus strict qu’aujourd’hui, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche s’appelait… Valérie Pécresse. Tout ce petit monde se tient par la barbichette.
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