Confronté à une mobilisation sociale persistante, le gouvernement tente le coup de l’état d’urgence.
Plusieurs dizaines de militants politiques ont reçu le week-end dernier des arrêtés préfectoraux leur interdisant de manifester mardi 17 mai.
Aucun fait précis ne leur est reproché dans le passé, mais a posteriori, avoir manifesté pourra être retenu à charge.
Une tentative d’intimidation minable qui illustre parfaitement l’utilité réelle de l’état d’urgence.
Mots-clés : État d’urgence | Répression