Dans la suite de l’affaire Fillon, les médias ont publié la semaine dernière un rapport de l’organisme européen de lutte contre la fraude qui montre que Marine Le Pen aurait salarié fictivement deux assistants parlementaires : son garde du corps Thierry Légier et Catherine Griset, une amie de la famille. Montant de l’opération, 340 000 euros. Aussitôt révélé, elle s’est défendue en expliquant qu’elle « n’était pas dans les petits papiers de la Commission européenne ». Comme quoi on peut cracher dans la soupe tout en puisant dedans !
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