En appel, les deux assassins du jeune militant antifasciste Clément Méric ont été condamnés à huit et cinq ans de prison. Une peine inférieure à celle prononcée initialement.
Spécialistes des coups de force et des agressions racistes, homophobes ou contre des syndicalistes, les actions de ces petits nazillons ont parfois des conséquences tragiques. Si elles restent heureusement encore isolées, elles pourraient prendre une toute autre ampleur dans un autre contexte.
Les laisser s’en prendre à des militants ou à des bouts de la classe ouvrière, c’est les laisser s’entraîner. Seule notre unité pourra les empêcher de nuire.
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