C’est dans un cadre champêtre qu’Arnaud Montebourg a annoncé sa décision de se retirer de la course à la présidence. Auparavant, il avait tenté de se positionner comme trait d’union entre les rivaux de la gauche, puis essayé de négocier son ralliement. Sans succès. Ce qu’on a surtout retenu de son programme, la « Remontada », c’était sa proposition d’interdire les transferts d’argent des immigrés vers leurs pays d’origine si ces derniers refusaient d’accueillir leurs propres ressortissants expulsés. C’est donc un grand humaniste qui quitte la scène politique.
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