Le juge d’instruction Bitar, en charge de l’enquête sur l’explosion du port de Beyrouth l’an dernier a reçu des menaces du Hezbollah parce qu’il avait convoqué trois hommes politiques, parlementaires ou anciens ministres, proches du mouvement chiite. « Si les moyens légaux s’épuisent nous allons te déboulonner » lui a transmis Wafic Safa, chef de la sécurité du Hezbollah. Preuve qu’au pays du Cèdre la justice est de plus en plus sereine.
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