Les forces de l’ordre ne considèrent pas comme un achat de première nécessité les protections périodiques utilisées par les femmes pendant le confinement. Nombreuses sont celles qui ont témoigné sur les réseaux sociaux pour s’être fait réprimander, menacer ou verbaliser pour avoir acheté serviettes, tampons ou tests de grossesses. Rien d’essentiel là-dedans, pour la police.
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