Les réfugiés afghans que Macron prétend accueillir harcelés par la police
« On dort sous un pont. Toutes les nuits, la police nous réveille à coups de pied », raconte le jeune Afghan en colère qui dort à même le sol sous le pont du canal de l’Ourcq pour s’abriter de la pluie. Avec plusieurs dizaines de jeunes migrants, surtout afghans, qui espèrent entamer une procédure de demande d’asile. Mais la police les chasse à coups de gaz lacrymogène, prend leurs couvertures, eux qui n’ont nulle part où aller, faute de se voir offrir une solution d’hébergement. Leur vie était menacée à Kaboul : elle n’est pas vraiment rose à Paris, faisant mentir les déclarations de Macron qui affirme que la France « est l’un des pays qui accueillent le plus d’Afghans et qui leur donne le plus de protection ».
Mots-clés : Réfugiés