L’État islamique n’a plus de territoire depuis qu’il a perdu le contrôle de la ville de Baghouz, en Syrie, face aux forces démocratiques syriennes, une alliance arabo-kurde soutenue par les puissances occidentales, nous dit-on.
Mais que ce soit en Irak ou en Syrie, les causes profondes qui ont fait grandir tous ces groupes djihadistes sont, elles, encore bien présentes. Elles se sont même aggravées : destructions des infrastructures, conditions de vie sont intenables, populations été dressées les unes contre les autres. Et les puissances impérialistes qui ont entretenu cette guerre sans fin dans leur lutte pour piller la région et ses richesses sont les premières responsables de ce chaos.
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