Pendant que les flics de Darmanin verbalisent les travailleurs qui rentrent du boulot après le couvre-feu et envoient des CRS réprimer des « barbecues sauvages », les riches se réunissent en toute impunité dans des clubs de luxe. Pas de masque ni d’attestation à remplir, et encore moins de contrôle policier dans ces restos prétendument « clandestins » qui accueillent une clientèle triée sur le volet. À plusieurs centaines d’euros le menu, il vaut mieux se mettre à l’aise. Leurs patrons sont manifestement en bons termes avec le ministère de l’Intérieur, puisqu’un Brice Hortefeux, ex-premier flic de France sous Sarkozy, fréquente ce genre d’établissement. Et ce ne serait pas le seul !
Les bourgeois peuvent se sentir tranquilles avec Macron et Castex aux commandes. Mais avec ce genre de provocation, ils poussent le bouchon (de champagne) un peu loin. Ça va péter !