À peine le cheikh Khalifa ben Zayed Al-Nahyane, émir-président des Émirats arabes unis, avait-il rendu l’âme, qu’Emmanuel Macron était déjà sur place. Il a immédiatement versé une larme pour sa famille et son « peuple », mais s’est surtout empressé de discuter gros sous. En décembre dernier, il avait supervisé de juteux contrats, dont la vente de 80 Rafale, et entend bien renforcer ce « partenariat » cher aux patrons français.
Du côté de la population, composée à 90 % de travailleurs migrants surexploités et maltraités, pas sûr que le monarque manque beaucoup.