Le Medef applaudit vigoureusement la réforme des retraites, sauf la clause dite « index seniors » : elle impose de publier la part du personnel âgé de plus de 55 ans employé dans les entreprises de plus de 300 salariés. Le patronat se débarrasse de ses salariés les plus âgés. Difficile de prétendre ensuite que repousser l’âge de départ à la retraite va combler le déficit. D’où cette mesurette.
Le non-respect d’un certain quota de travailleurs anciens devrait être assorti d’une sanction… mais celle-ci ne dépassera pas 1 % de la masse salariale. Ouf, le patronat peut souffler !
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