La diabolisation de Trump par Hollande n’aura pas résisté longtemps : une fois le ‘diable’ élu, Hollande, dans un excès de zèle, s’est dépêché de faire savoir qu’il lui avait parlé au téléphone, on ne sait pas trop de quoi mais l’important étant que cela a duré dix minutes…
Quant à Valls, l’élection de Trump lui a brusquement rappelé le « besoin de frontières » et la nécessité de « réguler l’immigration ». Mais reconnaissons que Valls n’avait pas attendu Trump pour faire de la démagogie xénophobe.
Mots-clés : Donald Trump