Vendredi dernier, Luo Changping, un ancien journaliste d’investigation, a été arrêté par les autorités chinoises pour avoir osé critiquer sur les réseaux sociaux… un blockbuster patriotique actuellement au cinéma. Il vient s’ajouter à la longue liste de militants et journalistes emprisonnés en Chine.
Le même jour, l’État chinois a publié un document pour interdire les capitaux non publics dans le secteur des médias. Car si les grands capitalistes privés (souvent hauts membres du Parti ou de l’État) sont à l’honneur, dès qu’il est question de « politique » mieux vaut le contrôle d’État pour étouffer toute voix dissidente !
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