Dans l’avion qui le ramenait à Rome après un voyage de six jours au Canada, le pape François a reconnu que le drame des pensionnats pour enfants autochtones s’assimilait à un « génocide ». Lors de ce « pèlerinage pénitentiel » il a demandé pardon à plusieurs reprises aux Amérindiens pour ce système dans lequel au moins 6 000 enfants ont péri entre la fin du XIXe siècle et les années 1990, système dans lequel l’Église catholique était largement impliquée et complice. Mais la pseudo « repentance » du Pape ne peut masquer le fait qu’aucun religieux n’a jamais été inquiété pour ces crimes… et encore moins exclu de l’Église catholique. Amen.
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