Alors que le pays s’apprête à accueillir la Coupe d’Afrique des nations, c’est sur le terrain de la répression que l’État camerounais a décidé de s’illustrer. La semaine dernière, des dizaines de militants associatifs et d’opposants politiques ont été condamnés à de lourdes peines de prison ferme.
Ces condamnations s’inscrivent dans le climat de terreur que fait régner Paul Biya, président depuis… 1982. Et ce avec le blanc-seing de la France qui exerce toujours sa tutelle impérialiste sur la région.
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