La Socapalm est une entreprise camerounaise qui fait travailler des enfants sur ses plantations d’hévéas et de palmiers à huile. C’est ce que dénonçait un reportage diffusé sur France 2 en 2016. Mais Vincent Bolloré, qui détient 38 % des actions de Socapalm, s’estime « dénigré » et réclame à la chaîne 50 millions d’euros de dommages et intérêts. Chercher à faire taire des journalistes quand ils ne sont pas complaisants en les écrasant d’une amende faramineuse : voilà qui ne sauvera pas la réputation de cet affairiste.
Mots-clés : Bolloré | Télévision
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