C’est en tout cas ce que redoute le FMI (Fonds monétaire international). Dans une note du 3 février, trois chercheurs alertent sur le risque élevé de désordres sociaux après l’épidémie de Covid-19. Ils s’appuient sur des études qui ont montré un lien entre les pandémies et les périodes de désordre social.
Les pandémies ont plutôt pour effet de mettre les mouvements en pause. Mais, à terme, elles aggravent les problèmes économiques et sociaux, la pauvreté et la croissance des inégalités, ce qui finit par engendrer des révoltes. Une situation que les « experts » du FMI, et tous les gouvernements, redoutent. Mais un coup de balai sur leur système capitaliste pourri qu’on ne peut que souhaiter.
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