C’est peut-être au massacre de dix grévistes du 1er mai 1891 à Fourmies dans le Nord ou au déluge de lacrymos et flashballs l’an dernier à Paris que pensait Macron quand il a évoqué l’esprit « joyeux et chamailleur » du 1er mai. Macron voudrait transformer la journée de lutte des travailleurs du monde entier en fête folklorique et inoffensive. C’est notre détermination lors de nos mobilisations futures qu’au fond il redoute.
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