En pleine campagne électorale, Arnaud Montebourg a pris un décret de « patriotisme économique », censé surveiller les prises de contrôle par des capitaux étrangers de certaines entreprises de secteurs considérés « stratégiques ». De telles réglementations sont monnaie courante sur la planète et n’ont jamais fait trembler les multinationales. Les patrons américains de General Electric ont d’ailleurs expliqué que cela ne changeait rien à leurs projets de rachat partiel d’Alstom.
Cette nouvelle gesticulation
Du « patriotisme économique » à la dénonciation du « Grand marché transatlantique »
Convergences Politique 14 juin 2014