Le 25 mars, le second tour des présidentielles sénégalaises opposera le président sortant, Abdoulaye Wade, à celui qu’il présentait jusqu’en 2008 comme son « fils spirituel », Macky Sall. Une farce électorale qui n’a mobilisé, d’après les résultats officiels, qu’une petite moitié des électeurs au premier tour. Mais qui a aussi cristallisé la colère de la jeunesse et des travailleurs du pays.
Les manifestations, grèves et occupations se sont multipliées pendant la campagne, depuis l’annonce de la validation par
Sénégal : Derrière la farce électorale
Convergences Monde 25 mars 2012