ATTAC, les « Amis de la Terre », ou encore la Confédération paysanne de José Bové réclament l’arrêt de la commercialisation des organismes génétiquement modifiés et un moratoire sur les recherches, au nom du « principe de précaution ».
Pourtant, comme le soulignent les firmes qui développent ces techniques, Monsanto ou Aventis par exemple, l’introduction dans l’ADN de variétés végétales ou animales de gènes issus d’autres espèces permet de leur donner des qualités nouvelles : résistance aux parasites, meilleurs