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L’épidémie a durement frappé les salariés, avec des clusters dans plusieurs lieux d’embauche PSO. Les situations ont été vécues difficilement par les collègues contaminés ou cas contact, qui ont alerté leur hiérarchie en mettant en avant les négligences relatives aux règles sanitaires.
Face à ce constat, la précipitation avec laquelle la direction annonce que dès le 1er juillet , on reviendra au présentiel à 100 % pour ceux qui ne sont pas éligibles au télétravail, et qu’il n’y aura plus aucun aménagement spécifique Covid, a de quoi inquiéter !
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Le pacte Suez Veolia est acté, bien que certains points soient encore flous. Les représentants du personnel ont été consultés pour la forme, sans que leur avis compte dans cette affaire.
En revanche, les économies sur le dos des salariés en s’arrêtent jamais : la communication dit que le Nouveau Suez est capable de « retenir les meilleurs » alors que les services support vont être coupés en deux...
Nous ne sommes pas des coûts ni du bétail, les collègues concernés qui le souhaitent, doivent pouvoir rester et garder leur statut.
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Cette semaine, le service Sécurité nous a proposé (ou inscrits d’office selon les services) un atelier sur le risque des chutes de plain-pied.
Une façon pour la boîte de se couvrir sur la sensibilisation aux risques, sans pour autant dépenser trop. Des ateliers de groupe ne doivent pas se substituer aux formations individuelles. Nos métiers sont dangereux et les formations pour notre sécurité incontournables.
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Le CSE Sevesc avait lancé une expertise concernant la mise en place du dispositif d’écoconduite. Le résultat de cette expertise est pour le moins inquiétant pour nous.
C’est en effet une multiplication de risques psychosociaux qui vont conjointement arriver avec l’installation de l’écoconduite couplée à la géolocalisation. Le plus préoccupant, c’est cette envie de performance que la direction veut à tout prix développer avec la mise en place de ces outils (géolocalisation, ordonnancement).
Tout ça se fait au détriment de notre santé, avec des charges de travail qui augmentent et des moyens humains qui diminuent.
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Un collègue de la Sevesc du site de Louveciennes a été licencié pour faute grave après 18 ans de boîte.
Il n’a pas pu se défendre, aucune tentative de conciliation n’a été organisée, il n’a droit à aucun préavis ni indemnités. Il se retrouve donc du jour au lendemain au chômage, à cause d’une sentence venue d’en haut, de la direction régionale, qui vise aussi à nous rappeler que la direction fait ce qu’elle veut avec nos emplois. A moins qu’une réaction collective ne vienne lui mettre des bâtons dans les roues.