Après des mesures comme la division par deux du prix du permis de chasse ou l’autorisation de modes de chasse interdits par l’Union européenne, Macron tire une nouvelle cartouche. Un décret, publié dimanche 26 décembre, diminue le délai entre la publication de l’arrêté préfectoral annuel d’ouverture de la chasse à tir et sa prise d’effet de vingt à sept jours. Ça fait toujours gagner treize jours d’abattage au million de chasseurs – et électeurs ! – que compte ce pays.
« Qui va à la chasse perd sa place », dit-on. Pour Macron, ça serait plutôt « qui veut garder sa place caresse le chasseur dans le sens du poil ».
Mots-clés : Emmanuel Macron