D’après un article du Monde, le « spectre d’un plan social rampant » hante la SNCF. Beaucoup de pincettes pour une situation qui est déjà bien réelle. En moyenne, ce sont 2 800 emplois détruits chaque année depuis 1980, surtout via des départs non remplacés, en forte hausse ces derniers temps. Pour augmenter la productivité et être « compétitive », la SNCF agit comme n’importe quel autre patron, pour qui les intérêts capitalistes priment sur l’emploi.