Uber a déjà été sous les feux de la rampe pour la faiblesse des salaires, l’hypocrisie du statut d’auto-entrepreneur imposé aux livreurs qui sont pieds et poings liés face à l’entreprise. Un autre sujet émerge depuis peu, le travail des mineurs.

Profitant du manque de contrôle de ces entreprises, des jeunes mineurs de milieux populaires, parfois collégiens, essaient de gagner un peu d’argent quitte à mettre en péril leur scolarité, quand ce n’est pas leur vie, en livrant des repas. Ubereat, Deliveroo et autres plateformes de livraison prétendent étudier le problème mais ferment en fait les yeux. Le travail des enfants, quelle disruption !