Après s’être gavés pendant près de trois mois d’argent public grâce au chômage partiel, les constructeurs automobiles vont encore pouvoir compter sur Macron. Deux milliards d’euros d’aides supplémentaires leur ont été accordés mardi 26 mai dans le plan pour relancer la machine à dividendes.
Entretemps les constructeurs préparent les suppressions de postes, comme Renault qui prévoit actuellement les licenciements de 15 000 salariés dans le monde. Comme à chaque fois en période de crise, l’argent public est surtout là pour subventionner la casse sociale…
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