« Si on continue comme aujourd’hui, en 2050 seuls les très riches pourront bien manger, les autres n’auront que le pire de l’alimentation, avec de la lyophilisation à outrance et autres... » Ce n’est pas Karl Marx qui parle mais le chef cuisinier Thierry Marx interviewé dans l’Obs ce week-end, au sujet de l’avenir de l’alimentation et de la gastronomie. Et il n’annonce pas la fin de la gourmandise du capital.
Mots-clés : Capitalisme